La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1530)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1529) -
Chapitre 8 : La lettre -
- Voilà un cul bien défoncé qui vaut le meilleur de mes honoraires
Le docteur Duernois, dune main posée sur mon dos, me tenait toujours plaqué sur son bureau. Quavait-il encore derrière la tête, ce pervers sodomite ? Venait-il de décider de me faire vivre une ultime humiliation ? Jen avais bien peur
Je lavais entendu appeler Anita via son interphone téléphonique
Je lavais entendu lui exiger dapporter un Tampax. Elle était arrivée en courant, sétait une nouvelle fois inclinée respectueusement devant le Maitre, et avait tendu lobjet au médecin.
- Toi, la pute qui a lhabitude de plonger ce machin dans ton vagin de salope, tu vas aller linsérer dans le cul de cette chienne soumise que je viens darroser copieusement de mon foutre. Je ne voudrais pas quil ne tâche ni son pantalon, ni le siège de sa voiture !
Le médecin se gaussait, un rire ouvertement moqueur, alors que le Maitre, penché sur moi, mécartait largement les fesses pour que la cible soit facile daccès. Honteux je létais, Anita quant à elle, ne semblait pas troublée. Elle insérait le tampon dans mon anus, ôtait lapplicateur et laissait pendre le petit bout de ficelle entre mes fesses.
- Et bien voilà tu peux te relever et thabiller petite chaudasse indisposée !, me disait le docteur Duernois en éclatant de rire.
Le Maître prenait congé en remerciant très chaleureusement son ami médecin. A la suite de ça, une fois dans la rue, à pieds, nous nous dirigions dans les beaux quartiers riches de Lyon pour aller dans un très luxueux restaurant haut de gamme où visiblement Monsieur le Marquis avait Ses habitudes. Cest pour cela que personne ne fut choqué quand, sous les yeux du portier indifférent à moi, le Maître juste devant la porte dentrée mexigea :
- Toi le chien soumis, tu restes là, dehors, à Mattendre, comme un bon chien.
Je nétais plus à une humiliation près
Je restais humble, tête basse, pratiquement indifférent à ce nouvel affront, presque heureux de vivre cette humiliation en pleine rue et devant ce portier austère en me disant que je commençais à intégrer mon statut de soumis, là dans la vraie vie et non pas uniquement dans des lieux clos et feutrés dédiés à ce genre de pratique. Je me disais aussi que lhumiliation me fabriquait, me façonnait, me modelait, pensant aussi que si je voulais être un bon soumis, mon devoir était de laccepter sans broncher
Une heure après sêtre copieusement restauré de riches mets que jimagine exquis, le Châtelain sortit, alors que jattendais toujours, assis sur le trottoir den face, contre un platane à grignoter un reste dune carcasse de poulet labélisé de Bresse
Nous rejoignîmes la voiture
Nous roulions en direction du Château, le Maître était silencieux, moi je me disais en esquissant discrètement un sourire en minventant ce petit poème imaginé dans ma tête :
« Mon petit Alex, cage de chasteté posée,
Et Tampax arrimé dans ton cul bien dosé,
Juste une carcasse, de volaille, à bouffer,
Comme repas de chien, et te voilà paré ! »
Je ne savais pas pourquoi à cet instant précis, javais lâme joyeuse ! Avais-je besoin de décompresser ?
- Pourquoi souris-tu salope ?, me questionnait le Maître.
Mine de rien le Maître mépiait chacun de mes faits et gestes, mes attitudes étaient sous contrôle. Je lui répondais simplement que jétais bien, heureux davoir ce privilège dêtre près de Lui, dêtre Son chien soumis, josais même lui redire ce qui métait venu à lesprit, ces rimes stupides qui mavaient fait sourire, tout en craignant une vive réaction de Sa part. Il nen fut rien, au contraire, le Maître eut un sourire, il mexpliquait quil appréciait de voir Ses soumises et soumis heureux, peut-être un peu malicieux, ayant de lesprit, du caractère, de lintelligence dès lors quil ny avait pas de mépris, darrogance ou dinsolence, dès lors quils savaient ce quils étaient et espéraient être !
- Jaime te voir tépanouir à Mes pieds car je préfère ça que les ignorants, les ânes bâtés
trop peu pour moi !, avait-il conclu.
Le silence était revenu dans lhabitacle de la voiture, nous venions de quitter lautoroute à Villefranche-sur-Saône, pour prendre les routes départementales nous conduisant au Château. Là alors que jétais arrêté à un feu rouge, le Maître reprenait la parole :
- Japprécie ton intelligence alexsoumis, tu es bien le digne fils de tes parents !
Pourquoi le Maitre me parlait subitement de mes parents ? Je faisais comme si de rien nétait, bien que troublé par cette remarque, tellement troublé que le feu était passé au vert depuis longtemps, je navais pas redémarré.
- Allons salope, quattends-tu pour avancer ?
Trop tard, le feu passait à lorange.
- Désolé Maître, sincèrement désolé.
- Cest moi qui suis désolé de te remuer les tripes en te parlant de tes parents, mais je veux que tu saches que jai été profondément triste dapprendre leur décès, profondément touché par leur disparition, un deuil qui ma beaucoup affecté et qui maffecte encore, je les appréciais énormément. Mais il est nécessaire et de Mon Devoir de te parler deux.
- Je ne veux rien savoir Maî
.
- Tais-toi salope, tu nas pas à vouloir, tu nas rien à exiger, tu dois te contenter dobéir dignement, respectueusement, comme tes parents le faisaient auprès de Moi.
Cette juste mise au point me remettait sur le rail, effectivement Monsieur le Marquis avait raison, je ne devais plus décider, plus arbitrer, plus choisir, ne pas vouloir mais espérer, souhaiter, seulement me résoudre à la totale obéissance, à accepter la subordination, la dépendance et me tenir dans la plus parfaite docilité et servilité. Je savais quainsi, je me nourrissais, je grandissais, parce que mon besoin de discipline et de contraintes était devenu impérieux en lespace de quelques jours seulement. Ma vie davant navait plus aucun sens, celle qui souvrait à moi allait me conduire au total épanouissement de mon être intérieur, jen étais convaincu.
- Tu sais ce que tu dois faire pour entrer en Ma Demeure !
Je savais. Alors que le Maître regagnait le perron, je me dévêtis dans ma voiture puis prenait la direction de cet enclos pour my enfermer. Dans ce couloir vouté, ordinairement très calme et silencieux, là, jentendais des cris, des exclamations, des exigences, des gémissements, des grognements, des réprobations, des récriminations, en fait, un tohu-bohu sans non, mempêchant presque davancer. Lorsque jarrivais dans cette pièce contenant les cellules, je fus impressionné par ce que je voyais. Là dans la cellule à côté de la mienne, un homme totalement nu, cagoule posée sur son visage, avec un collier autour du cou était suspendu par les bras, juste posé sur la pointe de ses pieds, les jambes tenues écartées par une barre métallique, allant dune de ses chevilles à lautre, avec un seau attaché à ses testicules et pendant entre ses jambes. A côté de lui, une femme corpulente, la cinquante tapait cet homme avec une cravache cinglante, elle paraissait visiblement, au premier coup dil, rustre, sévère, sadique et perverse.
- Qu'en vas-tu comprendre, la salope que tu ne dois plus te toucher les couilles et la nouille de chien ?, lui disait-elle sévèrement et sèchement
- Pardon, pardon Madame Marie, je ne le referai plus, lui répondait lhomme en gémissant puis hurlant à la suite dun nouveau coup violent de cravache porté sur ses fesses meurtries et zébrées.
- Comment te croire, sale pute, alors quil y a deux jours seulement, tu mavais exactement dit la même chose, espèce de bâtard...
A cela, cette femme aux yeux emplis de sadisme rajoutait un demi-litre deau dans le seau accroché aux attributs masculin du soumis
- Point de pitié pour les lopes désobéissantes, crois-moi tu vas regretter de porter une paire de couilles, tu vas comprendre quil test interdit de te branler sans autorisation, espèce de chien de rue, tu nes quun
Cette femme autoritaire et vicieuse sarrêta net en me voyant.
- Tiens, tiens, le petit nouveau ! Est-ce bien toi, le fameux alexsoumis ?
- Oui Madame !, répondais-je en me passant le collier autour du cou
- Ici on mappelle Madame Marie
Si tu oublies ça, tu auras à faire à ma cravache, le chien
- Bien, je ne loublierai pas, Madame Marie, répondis-je avec crainte, car cette femme me faisait peur
- Dépêche-toi de te mettre à quatre pattes, et montre-moi ton cul de putain, petit chien soumis.
Evidemment, elle riait en voyant le petit bout de ficelle sortir de mon anus.
- Encore un qui ne sait pas tenir le jus, la bonne semence quon lui donne
, lançait-elle en haussant les épaules de dépit et en levant le bras, sa cravache en main, prête à me frapper.
Heureusement Walter arrivait juste à cet instant, alors que la sadique Marie allait me cravacher simplement parce que javais un tampon dans le cul
- Laisse Marie, tu le cravacheras à ta guise une autre fois, Monsieur le Marquis veut voir ce chien tout de suite dans Son bureau
- Ah OK, dit-elle, baissant le bras
Toi le bâtard, tu ne perds rien pour attendre, jtapprendrais à garder le sperme et sans tampon dans ton cul
Tu peux me croire, la pute à foutre
Le Majordome déverrouillait ma cellule me fixait une laisse à mon collier, en mentrainait en quadrupédie jusquau bureau de Monsieur le Marquis. Le Noble assis dans Son fauteuil semblait mattendre. En Ses nobles Mains, il tenait un document jauni par le temps. On aurait cru quil tenait un trésor, tant il tenait ce document avec mille précautions.
- Approche-toi Mon chien, viens ici près de moi, à genoux, ton cul posé sur tes talons, tes mains sur tes cuisses écartées, paumes levées vers le ciel, regarde-moi !
Bien difficile de tenir un regard dune telle intensité, il fallait une parfaite obéissance pour y parvenir. Je me conformais à lordre reçu avec un plaisir évident, parce que je me sentais devenir de plus en plus servile, docile et obéissant. Un plaisir physique puisque ma nouille cherchait à se redresser, mais bien plus encore, une jouissance intellectuelle sans nom, quelque chose dinexplicable, à la fois déconcertante et incompréhensible mais tellement emplie de plénitude. Je me voyais, offert, silencieux, respectueux, humble, asservi, dans le dénuement total avec un ressenti et un besoin de vénération de dévotion incommensurable.
- Regarde Mon chien, jai entre Mes mains, une lettre écrite il y a maintenant près de vingt-cinq ans, peu après ta naissance. Elle a un peu jauni parce quelle a demeuré dans un de Mes coffres toutes ces années et y serait restée si tu nétais pas venu à ma rencontre grâce à ta destinée qui ta amené jusquau Château.
Pour la première fois, je ressentais de lémotion dans la voix du Maitre, il regardait ce pli avec tellement de retenue, daffection et démotions, on sentait même, étrangement une légère commotion chez Lui. Jai même aperçu une larme coulée sur sa joue, ce qui devait être exceptionnel devant un soumis
Il se ressaisissait et reprenait la parole avec courage et dans une sorte dhumilité sincère. Et est donc très ému quil me dit :
- Tu vois cette lettre est cachetée de mon sceau. Et donc elle naurait jamais été ouverte si tu ne mavais pas rejoint, si tu nétais pas là, aujourdhui, humble à Mes pieds ! Cette lettre, elle te revient de droit, parce que jen ai fait le serment en son temps. Jen ai fait la promesse de te la remettre en main propre, le jour venu. Et ce jour est aujourdhui.
Je ne voyais absolument pas où Monsieur le Marquis voulait en venir. Pourquoi cette lettre me reviendrait-elle ? Et pourquoi le Maître semblait si ému ? « alex, apprend la patience si tu veux être celui que tu espères ! » me disais-je.
- Cette lettre, je la tiens de tes parents !
Je sursautais en me mettant à trembler
Mes yeux sembrumaient, je sentais mon cur battre beaucoup plus vite
- Ta maman la écrite, deux ans après ta naissance, alors quelle et ton père avait quitté le Château sous Mon consentement, cette lettre a été écrite ici, un soir dautomne, sur ce bureau. Ce fut un grand moment démotion, pour elle, pour ton père et pour Moi également. Tes parents mont demandé de conserver cette lettre près de Moi, de ne jamais la remettre à quiconque hormis à toi, et à toi seulement dans le cas où un jour tu venais à Ma rencontre pour te mettre à Ma disposition, comme eux lont fait lorsquils eurent 18 ans pour ta mère, 21 pour ton père. Aujourdhui, je suis fier dhonorer Ma promesse, aujourdhui je te la remets, tiens, prends-là, ouvre-là, lis-là.
Je sentais rouler des larmes sur mes joues. Je pleurais de tristesse, de joie, je ne savais pas pourquoi exactement. Remonter des souvenirs, que des bons souvenirs denfance, de jeunesse, dadolescence.
- Veuillez mexcuser Maître !, lui disais-je dune voix chevrotante.
- Tiens prends ce mouchoir en papier et essuie tes larmes.
Jouvrais le pli avec délicatesse et attention, les mains tremblantes démotion :
« Mon petit chéri, mon cher et adorable , mon petit Alexandre,
Si tu lis cette lettre entre tes mains, cela veut dire que deux évènements majeurs se seront alors produits. Le premier, voudra dire que ni ton père, ni moi-même ne serons plus de ce monde pour te chérir, tadorer, pour te voir grandir ou vieillir, la mort nous aura cueilli et donc ce pli est uniquement réalisé dans ce cas de figure de notre éventuel décès. Mais nous aurons laissé à travers toi, ce fil dAriane unissant nos âmes
Le second évènement, voudra dire que tu auras cheminé et marché dans nos pas si ta destinée lexige, peut-être sans même le savoir, pour te retrouver ici en train de lire cette lettre, dans cette noble Demeure qui nous a apporté tant de bonheur et de joie auprès de Monsieur le Marquis, cette noble et délicieuse Personne, ce Bienfaiteur humaniste, ce grand Maître Exigent mais Juste qui a su nous conduire vers un idéal que nous attendions, que notre Nature nous réservait...
(Je pleurais
)
Quand tu seras en possession de cette lettre, alors de là où nous sommes, nos âmes seront sereines, calmes et pourront reposer en paix. Lire cette lettre voudra donc dire que la vie que tu viens de te choisir sera belle, harmonieuse, faite de plaisirs et de jouissances mais surtout que tu y trouveras la plénitude et la sérénité avec toi-même que nul ailleurs tu pourrais trouver. La vie, ta vie sera comblée puisque cest ici, en ces Lieux que ton père et moi nous sommes connu, ici aussi que plus tard tu as été conçu, dans la Grande Bibliothèque de Monsieur le Marquis, avec Son aval et sous Son regard. Peut-être un jour, mon petit chéri, aimeras-tu la lecture et les livres ?, comme moi et ton père, avons apprécié ces temps denrichissement de notre culture qui nous ont été offert à maintes reprises ici...
(Je pleurais toujours
)
Sache encore, mon doux bébé, que tu es le fruit dun grand amour passionnel entre les deux soumis que nous sommes, dun amour abyssal et gigantesque, ton père et moi nous nous aimons tellement, si tendrement, viscéralement. Enfin, mon adorable , sache encore, que Monsieur le Marquis, cet Homme de parole si bon, nous a fait une magnifique promesse ce soir. Il vient de souscrire une assurance-vie à notre nom en te désignant comme seul bénéficiaire en cas de nos décès, dun montant de trois millions deuros. Que tu sois près de Lui ou non, cette somme te reviendra après notre disparition. Tout va être acté en bon et du uniforme chez le Notaire du Maître. Ainsi, il veut te mettre à labri de toute difficulté financière pour que tu puisses vivre aisément et dans le confort ! Saches que nous avons quitté le Château, dès ta naissance il y a deux années, avec la permission de Monsieur le Marquis, afin que lon puisse télever dans un lieu neutre de toute Domination/soumission. Le Maître a tout financé, comme par exemple notre nouvelle maison où tu grandis et vas grandir
Maintenant que tu lis cette lettre, que tu sais, noublie pas de remercier cet Homme bien aimé ! Ne pleure pas, soit fort mon grand petit bonhomme, ressent cette force que nous tadressons de tout là-haut
Espérant que tu naies jamais à lire cette lettre signe que nous serons vivants le plus tard possible et que nous te verrons vieillir
Ta maman qui taime tant, ton papa qui tadore !
»
Je ne pus encore retenir mes sanglots
Le Maître silencieux, pleurait aussi
(A suivre
)
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